Un atelier animé par Quynh Bui
La Fresque du climat est un atelier ludique et collaboratif basé sur l’intelligence collective. Les joueurs disposent de cartes représentant les différentes composantes du changement climatique et se concertent afin de retrouver les liens de cause à effet en les positionnant et reliant entre elles. La fresque experte se distingue de la fresque classique par son nombre de cartes : la fresque experte présente plus de cartes et rentre davantage dans les détails des mécanismes entrant en compte dans le dérèglement climatique.
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Un atelier animé par Xavier Arques
La Fresque des solutions est un atelier ludique et collaboratif dans lequel chaque participant choisit pour lui-même et pour le groupe des actions. L’atelier est composé de plusieurs tours, à la fin de chaque tour, en fonction des décisions prises par les participants lors du tour les émissions carbone du groupe sont calculées. À la fin des tours de jeu, les participants font le bilan de leurs actions. L’objectif est de comprendre les principaux leviers que nous pouvons trouver dans nos actions quotidienne pour atteindre l’objectif de réduire l’empreinte carbone annuelle moyenne d’un français de 10,8 tonnes de CO2 en 2017 aux 2 tonnes de CO2 en ligne avec les accords de Paris.
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Un atelier animé par Jean-Baptiste Dusson
La Fresque du Numérique est un atelier ludique et collaboratif de 3 heures avec une pédagogie similaire à celle de La Fresque du Climat. Le but de l’atelier est de sensibiliser et former les participants aux enjeux environnementaux du numérique. L’atelier vise aussi à expliquer les grandes lignes des solutions pour un numérique durable, puis à ouvrir des discussions entre les participants sur le sujet.
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Un atelier animé par Sophie Danlos – directrice de l’association Fermes d’Avenir
L’atelier proposait d’examiner les limites de l’agriculture conventionnelle et d’explorer les opportunités permises par le développement de l’agroécologie. L’atelier se basait sur la présentation d’exemples précis de fermes expérimentales, en quête d’une formule alliant respect de l’environnement et rentabilité économique permettant aux agriculteurs de vivre décemment de leur travail. L’ambition est grande : créer un nouveau modèle agricole, plus attractif et plus sobre.
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Un atelier animé par Jean-Christophe Bureau
Notre alimentation et ses modes de production sont un des facteurs majeurs du changement climatique et sont à l’origine de problèmes environnementaux, sanitaires et sociaux majeurs, tels que la surexploitation des ressources en eau ou l’obésité. On s’intéresse ici aux enjeux et questions posées par la nécessaire transformation des méthodes agricoles et de nos régimes alimentaires.
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Un atelier animé par Simon de Myttenaere et Elsa Vizier
La relève des défis contemporains, et en particulier les défis environnementaux, nécessite une capacité d’innovation renouvelée. Or il apparaît que la nature peut constituer une source d’inspiration abondante : elle est un vivier d’êtres vivants parfaitement adaptés à leur environnement, fruits d’un processus d’optimisation de milliards d’années de sélection naturelle. La nature ne produit pas de déchets, et elle est particulièrement économe et efficace dans la gestion des ressources, énergétiques en particulier.
L’approche biomimétique se propose ainsi d’utiliser ce potentiel de technologies naturelles au service d’une innovation soutenable, répondant aux exigences contemporaines.
Quelle place peut-on donner à des sources bio-inspirées dans les processus d’innovation ? Dans quelle mesure peut-on s’inspirer de la nature pour créer un monde plus résilient face au changement climatique ?
L’atelier proposait d’explorer les concepts de résilience et de biomimétisme et de mettre en œuvre cette démarche exploratoire dans la résolution de problèmes techniques concrets.
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Un atelier animé par Frank Aggeri
Nos modes de vie s’inscrivent dans une société de consommation qui pousse à réfléchir en termes de coûts et de performance plus qu’en termes de durée de vie et d’impact environnemental et social. Face à ce constat en désaccord avec les efforts engagés aujourd’hui pour prendre en compte l’empreinte environnementale de chacune de nos décisions le but de cet atelier était de comprendre comment les entreprises pouvaient créer de la valeur autrement.
L’atelier proposait l’étude d’une solution alternative à ce mode de consommation : l’économie de la fonctionnalité qui propose à l’utilisateur de réfléchir à un usage et non un bien matériel en soit.
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Un atelier animé par Pauline Plisson
Peut-on imaginer une cimenterie qui n’émet pas de gaz à effet de serre ? Lors de cet atelier, les élèves ont étudié le cas des cimenteries, un secteur industriel fortement générateur de CO2. Plusieurs moyens permettent de réduire son empreinte carbone : optimisation des procédés de fabrication, changement de la consommation d’électricité ou encore baisse des usages du ciment. Les enjeux principaux du secteur et les pistes pour réduire les émissions sont abordées dans un podcast et trois fiches thématiques.
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Un atelier animé par Céline Laurens et Alec Bickersteth
Le secteur du bâtiment représente une part significative des émissions de gaz à effet de serre en France. Les techniques de construction, notamment l’utilisation de ciment, sont en cause. La construction en bois constitue une alternative à fort potentiel pour décarboner notre économie. Dans cet atelier, Céline Laurens et Alec Bickersteth ont présenté aux étudiants les enjeux principaux de la filière forêt-bois en France. Les élèves ont étudié le potentiel de la filière, et ont analysé la structure de la filière et sa capacité à répondre aux objectifs climatiques fixés par l’État.
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Un atelier animé par Dominique Copin
La capture de carbone permettrait de réduire nos émissions de gaz à effet de serre, notamment sur des centrales à charbon, centrales à gaz, aciéries, ou cimenteries. L’atelier répond aux questions suivantes: Comment fonctionne la capture de carbone? Est-ce une technologie viable aujourd’hui ? Quels sont les obstacles limitant son déploiement? Pour finalement soulever cette question essentielle ; sommes nous prêts à financer les investissements nécessaires pour capturer près de 10 milliards de tonnes de carbone par an ?
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Un atelier animé par Arthur Rolland
Le secteur résidentiel, souvent éloigné des groupes industriels, n’apparaît pas de manière évidente comme un des secteurs les plus consommateurs d’énergie. Pourtant, il représente 32% des 1640 TWh consommés annuellement et dégage près de 60 millions de tonnes équivalent carbone dans l’atmosphère contribuant à 16% du total des émissions nationales en 2015. Comment la neutralité carbone peut-elle être atteinte dans le secteur résidentiel français afin de respecter les objectifs de neutralité carbone à horizon 2050 ?
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Un atelier animé par Matthieu Blondel et Alexandre Hoffer
L’essentiel de la consommation mondiale d’hydrogène est dédiée aujourd’hui au raffinage du pétrole, et à la production d’ammoniac pour les engrais. Mais l’hydrogène présente beaucoup d’atouts, comme par exemple rendre possible le stockage de l’électricité, atout important pour verdir le parc automobile ou pour gérer le surplus/déficits de production des énergies renouvelables intermittentes. Mais pour cela, il faudrait passer d’un hydrogène majoritairement gris, produit à partir d’énergies fossiles, à un hydrogène “vert”.
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Un atelier animé par Meriem Hamdi-Cherif
Si l’on considère que le développement d’une société consiste à combler des privations, cela semble naturellement mener vers une augmentation des usages en biens, en infrastructures et en services. Ceux-ci mobilisent ressources et énergie dans des procédés qui se font aujourd’hui de manière dommageable pour l’environnement avec, en particulier, une émission massive et prolongée de gaz à effet de serre (GES).
Ainsi, les efforts de développement semblent difficilement compatibles avec les contraintes sur les émissions de GES que nous imposent nos objectifs de limitation du réchauffement climatique à moyen terme. Quelle est l’origine de cette tension et comment faire pour concilier les enjeux de développement et les contraintes sur les émissions de GES ?
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Un atelier animé par Alexandre Rambaud
L’orientation d’investissements importants vers des projets compatibles avec les objectifs environnementaux et sociaux de transition écologique constitue un défi pour le monde de la finance. Des initiatives de fiscalité “verte” tentent d’y répondre. Dans cet atelier, on s’intéresse en particulier aux enjeux de la comptabilité écologique. Il s’agit en effet d’un levier majeur du fait de l’importance des outils comptables dans la gouvernance des entreprises. L’étude du modèle de comptabilité écologique CARE (Comprehensive Accounting in Respect of Ecology) permet d’explorer les enjeux de la comptabilité et de la fiscalité verte et les réflexions développées ces dernières années.
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Un atelier animé par Quentin Dufour
Le Produit Intérieur Brut (PIB) est un indicateur de la situation économique des Etats omniprésent dans les travaux des économistes mais aussi dans les journaux. Il joue également un rôle majeur dans l’orientation des politiques publiques et est de ce fait souvent décrié, compte tenu de l’importance donnée à cet indicateur de “croissance économique”. Mais comment est-il construit ? Quelles sont ses limites ? Quels indicateurs permettraient de les dépasser ?
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Un atelier animé par Arthur Gaudron
En raison du contexte sanitaire et de la tenue des ateliers à distance, la thématique du transport urbain de marchandises n’a été traitée que de façon superficielle (les modalités ne permettaient pas la tenue des activités prévues).
Il a été proposé aux participants de modéliser les flux qui peuvent exister tout au long de la supply chain à travers un jeu pédagogique intitulé Beer Game, développé au MIT. Il s’agit d’un outil simplifié à dessein afin de faire prendre conscience des enjeux industriels complexes liés à la communication d’informations de bout en bout, en l’occurrence d’un vendeur à un producteur en passant par des intermédiaires logistiques de distribution (entrepôts).
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Un atelier animé par Eric Ballot
A l’heure où les villes concentrent une part toujours plus importante de la population, la question de leur approvisionnement en denrées alimentaires et produits manufacturés pose de nombreux défis aux logisticiens. Il est en effet nécessaire de prendre en considération les flux en interface avec l’extérieur de la ville et ceux internes à cette dernière.
Vu par le prisme de la transition écologique, les déplacements motorisés pour se nourrir ou faire ses courses représentent une part non négligeable des externalités constatées en ville (principalement bruit, pollution, congestion).
L’atelier propose d’explorer plusieurs cas de figure afin d’étudier à partir de quelle échelle critique il peut être intéressant, d’un point de vue environnemental, de se faire livrer ses courses plutôt que d’aller les chercher en voiture.
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Un atelier animé par Mariam Lafkihi
Parmi les nombreux acteurs de la supply chain, rares sont ceux qui internalisent la structure de coûts (et d’actifs) nécessaire au transport des matières premières, produits semis-finis et finis. La sous-traitance auprès de transporteurs dédiés est donc classique. Superposées à un contexte de marché souvent concurrentiel, ces situations aboutissent à un moindre remplissage des conteneurs de fret, ce qui dégrade le bilan carbone et environnemental de la logistique.
L’une des voies explorée par l’atelier pour pallier (au moins partiellement) cette lacune tient à l’application du concept d’internet physique au fret de marchandises, à travers une modélisation sous forme de jeu. Il s’agit donc de comparer les performances économiques et environnementales du modèle classique par rapport à un modèle où les moyens de transport entre industriels sont mutualisés.
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Un atelier animé par Grégoire Carpentier et Olivier Del Bucchia
Dans le cadre des accords de Paris, le secteur de l’aviation au coeur de notre modèle économique et fleuron de notre industrie française est appelé à baisser ses émissions de 4% à 5%. L’objectif de cet atelier est de comprendre comment ce secteur prend acte de cette ambition et comment il se prépare à se transformer en profondeur en explorant les pistes de l’efficacité énergétique, de la sobriété ou encore de la progressive reconversion de ses métiers.
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Un atelier animé par Jeanne-Marie Dalbavie
La décarbonation du secteur des transports, qui représente ¼ des émissions mondiales, est un défi majeur de la transition énergétique, pour lequel l’innovation joue un rôle crucial. L’objectif de cet atelier est d’analyser les évolutions passées de quatre grandes catégories de moyens de transport (transport routier, aérien, naval et ferroviaire) et d’examiner les tendances à l’œuvre pour tenter de prédire à quoi ressembleraient les transports de demain. Quatre moyens de transport ont été étudiés à l’aide de la méthodologie du System Operator Tool (SOT).
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